Pour ceux qui
s'inquètent de l'avenir de M. Varin, voici le triste
sort des deux précédents PDG de PSA, et celui qui
lui est réservé :
Les prédécesseurs ...
- Révoqué le 30 mars 2009 pour raison de santé,
M. Streiff a vu son mandat de PDG transformé en contrat
de travail (avec dispense d'activité) avec une rémunération
mensuelle de 144 631 , (4821 par jour, samedi et
dimanche compris) jusqu'à son départ de l'entreprise
fin 2009 avec un parachute doré dont le montant n'a pas
été publié. (Document
de référence PSA 2009 pages 197 et 198)
- M. Vardanega, qui a assuré pendant 2 mois et 1/2 l'intérim
entre M. Streiff et M. Varin, a retrouvé le 17 juin 2009,
à l'issue de son mandat temporaire de PDG, un contrat
de travail avec une rémunération mensuelle portée
à de 81 247 .
Mais il n'en a pas
profité longtemps : Il a fait valoir ses droits à
la retraite le 31 décembre 2009. A cette occasion, il
a perçu une prime de départ de 706 958 .
En retraite, il bénéficie du régime
de retraite des dirigeants du groupe PSA qui lui garantit 50
% de sa rémunération antérieure. (Document
de référence PSA 2009 pages 197/198)
... Et M. Varin
Pour garantir la retraite-chapeau
de M. Varin, PSA a déjà mis de coté à
son intention la modique somme de 20 968 000 . (Document
de référence PSA 2012, page 203 : engagements
de retraite).
Nous voilà rassurés
!
|